QUO VADIS HOMINE ?

Le CCIC ne peut que suivre le Pape François, l’ensemble des associations attachées au respect inconditionnel de l’être humain, et notamment, l’Œuvre d’Orient, lorsqu’ils réprouvent la condamnation à mort et le mode d’exécution du jeune saoudien Al Al-Nimr, pour des faits remontant à une époque où il était encore mineur, état qui en droit, et de manière universelle, tend à atténuer la responsabilité de l’auteur … !

Il réclame une liberté réelle de pensée, de conscience et de religion, valeurs formellement garanties par l’article 18 de la DUDH. Le droit international reconnaît ainsi la liberté de culte pour tous alors que celle-ci est bafouée, actuellement, au Proche ORIENT pour des chrétiens, de plus exclus, notamment, de la vie civile.

Être apatride ne peut devenir le lot commun de tous ceux qui, privés de ce que l’on appelle communément le droit du sol, deviendraient inéluctablement réfugiés à vie dans des contrées culturellement éloignées de leurs racines.

Il soutient toutes les démarches entreprises pour sensibiliser une opinion certes réceptive à la compassion, mais qui ne mesure pas toujours les conséquences de la perte irréversible de leur territoire pour les populations martyrisées.

Le CCIC