Séance tenue en présentiel, dirigée par Madame  Rastova Siamashvili,  ambassadrice  de Serbie, nouvelle présidente du Conseil Exécutif (Board). L’Ordre du jour montre que désormais l’Unesco a, en quelque sorte, retrouvé sa vitesse de croisière ; des évènements importants sont prévus pour les mois à venir.

Lors du débat introductif, beaucoup de commentaires ont fait écho à ce qui s’était dit ou décidé lors de la dernière Conférence Générale de novembre, mais l’élément important et nouveau à relever, commandé par l’actualité, a eu trait à la guerre en Ukraine : avec la crise du Covid dont les effets se font toujours sentir, cette autre crise a amené à donner au débat une tonalité très particulière révélatrice d’un malaise en des temps si « troublés » comme l’ont souligné plusieurs délégués, et à déplorer à quel point la situation vient « percuter » ce qui fait l’essence de l’Unesco dans son Acte constitutif. On aura noté les mots très forts prononcés à l’ouverture par Madame Azoulay qui, d’entrée, a souligné le caractère dramatique de la situation et a appelé à continuer de faire vivre les exigences du mandat de l’Unesco par une mobilisation collective et une dynamique de l’action au service de la Paix. Son discours très complet est venu confirmer une réelle reprise de l’activité au travers des programmes comme des évènements prévus pour les prochains mois.

On propose ici une restitution qui se limitera aux points qui auront le plus retenu l’attention

Le thème de la Paix, du multilatéralisme

Comme la Directrice Générale, d’assez nombreux délégués ont fait référence explicitement, parfois longuement et de façon incisive, à la guerre en Ukraine. Ce sont surtout les représentants des pays européens qui se sont exprimés avec le plus de force. Les autres ambassadeurs qui ont évoqué le conflit l’ont fait de façon plus allusive, en rappelant parfois qu’il y avait ailleurs d’autres guerres à déplorer. Beaucoup ont dénoncé le viol du droit international qu’a occasionné l’agression brutale contre l’Ukraine et le non-respect par La Russie de ses engagements comme membre de l’Unesco. A de nombreuses reprises il a été fait référence aux valeurs figurant dans l’Acte constitutif et à la phrase essentielle qui se rapporte à la Paix (la guerre dans les esprits, élever des barrières pour la défense de la Paix). Quelques voix ont lancé un appel pour que cesse cette guerre, et pour que s’engagent sans délai des négociations. Plusieurs ambassadeurs, surtout ceux des pays de l’Europe de l’Est ont appelé l’attention sur la question des réfugiés et l’immense charge que représente l’accueil de millions de ressortissants ukrainiens dont beaucoup d’enfants qu’il est indispensable de scolariser.

Il a été rappelé que, compte tenu de la gravité de la situation, le Conseil exécutif, avant même cette 214 ème session, s’est réuni les 16 et 17 mars en séance extraordinaire pour traiter des conséquences de la guerre en Ukraine. Tous les domaines de l’Unesco ayant été affectés par cette guerre, souvent de terribles façons (mort de journalistes, écoles rasées, destruction de théâtres ou d’infrastructures de communication etc), l’Unesco a été invitée à déployer ses efforts pour prêter assistance à l’Ukraine sur le terrain dans les meilleurs délais, dans tous les domaines relevant de sa mission.

Pour en revenir à cette question de la Paix, on aura relevé parmi les DR figurant à l’ordre du jour, la proposition que désormais le sujet fasse l’objet d’une attention permanente (proposition de l’Andorre qui a été largement soutenue lors des travaux en Commission, et qui a amené de nombreux Etats à exprimer leur soutien à une initiative que la situation présente justifie plus que jamais et dont l’intitulé est le suivant : La Route de la Paix, Dialogue et action pour la tolérance et la compréhension mutuelle » 

Autre observation à relever dans les déclaration des Etats en rapport avec la dégradation de la situation internationale provoquée par la guerre en Ukraine : le  soutien renouvelé massivement au multilatéralisme qui doit être considéré comme un puissant moyen de retrouver une situation plus normale de façon générale au sein de la famille onusienne, mais singulièrement à l’Unesco dont les domaines peuvent être des terres d’élection pour préserver l’harmonie et la Paix sur le terrain et dans les esprits. A cet égard, très souvent sont rappelées et soulignées les contributions positives que pouvaient apporter l’Education ( « aux medias », « à la citoyenneté », « aux relations internationales » notamment) mais aussi la Culture ( « respect des identités », « compréhension mutuelle », « valeurs des Patrimoines )

Les sujets les plus fréquemment abordés en dehors de ce qui a eu trait au thème « Guerre et Paix »

-L’Education

Les questions autour du covid sont toujours présentes, mais le sujet a été en général abordé uniquement incidemment, avec maintenant un appel à tirer les leçons des chocs endurés, notamment dans le secteur Education. En ce domaine, plusieurs délégués ont rappelé l’importance du numérique qui, à l’occasion de cette crise sanitaire, ont permis tout à la fois d’accomplir de grands progrès pour certains et dans certains pays et de révéler pour d’autres   des fractures qui restent béantes. De telles questions de toutes première importance seront immanquablement abordées lors du grand sommet sur l’Education que le Secrétaire Général de l’ONU a souhaité voir organisé à New York, en marge de la prochaine Assemblée Générale en septembre, avec comme thème le titre suivant : « Transformer l’Education ». Beaucoup de délégués en ont parlé, se félicitant d’abord de voir ici que l’Unesco sera leader et notant avec intérêt qu’une organisation spécifique a été mise en place pour préparer l’évènement avec une structure localisée à Paris appelée à coordonner les travaux inter-agences.

Plusieurs délégués se sont félicités de l’existence de la Coalition pour l’Education et ont rappelé les engagements de la déclaration de Paris prise lors du dernier sommet des ministres de l’Education.

Il faut aussi souligner les préoccupations exprimées par de nombreux délégués à propos de l’Afghanistan avec l’interdiction d’accès à l’école faite aux jeunes filles ; les échanges en Commission ont fait ressortir une position unanime en faveur d’une Décision appelant le Secrétariat à œuvrer activement pour la réouverture des écoles aux jeunes filles et plus généralement à assurer une présence active de l’Unesco sur le terrain dans tous les domaines de son activité. Le représentant de ce pays a invité tous les Etats à bien comprendre la situation, en percevant toutes les difficultés que représente l’emprise des « communautés ».

-La Culture

Second sujet sur lequel presque tous les Etats se sont exprimés : l’organisation par le Mexique du sommet mondial pour la Culture Mondiacult. Cette réunion aura pour objet de réexaminer la question des politiques publiques dans le domaine culturel. Il s’agira de « revisiter » un sujet essentiel pour l’Unesco pour en quelque sorte actualiser l’existant afin de le confronter aux grands enjeux et défis que connait le monde culturel en tenant compte notamment des enseignements de la crise covid dont le secteur a été une grande victime mais aussi des effets de l’irruption du numérique (ce sera d’ailleurs le fil directeur de l’évènement).

Le respect des Identités et de la diversité des expressions culturelles sont deux grandes valeurs de l’Unesco : cela a été rappelé à plusieurs reprises, avec, dans certains cas, une insistance sur le sujet touchant les cultures (langues) autochtones. Ont de nouveau été soulignés les problèmes posés par le trafic des bien culturels qui souvent surviennent là où se  déroulent des conflits.

A propos des questions touchant au Patrimoine, plusieurs orateurs ont à nouveau salué le succès des opérations de réhabilitation à Mossoul et à Beyrouth. Deux délégués sont intervenus à propos du Haut Karabakh  l’un pour demander qu’une mission vienne évaluer sans tarder les atteintes que la guerre a portées et porte encore au Patrimoine de la région et l’autre pour dénoncer la persistance de situations conflictuelles à propos de l’identité culturelle des populations de cette zone.

L’Afrique et les Petits Etats Insulaires en Développement (PEID)

Au fil des interventions, on aura noté beaucoup d’interventions mentionnant ces deux thèmes (Afrique et PEID) qui, il est vrai, font partie des priorités adoptées pour la stratégie à moyen terme du C4.

A propos de l’Afrique, plusieurs représentants de pays africains ont dit leur satisfaction de voir maintenant définie une stratégie pour l’Enseignement et la Formation Professionnelle et Technique ; est aussi apprécié ce qui est fait pour la promotion des STEM (sciences, techniques, ingénierie et mathématiques) et les initiatives concernant le numérique. Ils font ressortir tout l’intérêt que ces disciplines représentent pour améliorer l’employabilité dans des pays en développement. Comme l’a fait remarquer un orateur, ces actions répondent bien à l’orientation stratégique retenue pour la Priorité Afrique qui appelle à privilégier les aspects opérationnels, mais elles ne doivent pas faire perdre de vue deux sujet d’importance critique a-t-il fait observer : la menace de crise alimentaire (du fait des retombée de la guerre en Ukraine) et le dérèglement climatique dont les effets touchent particulièrement beaucoup de pays africains.

 Les PEID sont l’objet d’une plus grande attention ; ces petits pays ne manquent pas de rappeler la faiblesse de leurs ressources (aggravée par la chute du tourisme suite à la crise covid) et leur vulnérabilité (exposition aux risques naturels). On aura noté, à l’instigation du Koweit et de l’Arménie,  la création d’un groupe des amis des PEID.

-L’Eau et les Océans

A nouveau et sans doute de façon plus appuyée que précédemment, d’assez nombreux délégués ont souligné l’importance du sujet. 

Le 9 ème Forum sur l’Eau qui s’est tenu récemment à Dakar a été un succès qu’a rappelé le délégué du Sénégal

L’acuité du sujet a été aussi révélée lors d’une récente Conférence sur les eaux souterraines et la nécessité d’une bonne gouvernance en la matière

Les questions touchant aux Océans sont sensibles elles aussi ; beaucoup d’Etats ont noté avec satisfaction les travaux de la COI (Commission Océanographique Internationale)  dont les moyens seraient à renforcer. On a rappelé l’un des objectifs très ambitieux que la Commission s’est donnés dans le cadre de la décennie pour les océans, à savoir leur cartographie (à hauteur de 80% de leur surface d’ici à 2030).

L’importance du sujet a amené l’Egypte à proposer que l’Unesco mette au rang de ses préoccupations prioritaires le thème « Unesco et les Océans », cette proposition a été largement acceptée au sein de la Commission PX. 

-Les initiatives pour lutter contre le racisme et les discriminations

Le Secrétariat conformément aux orientations de la Conférence Générale a proposé une feuille de route comportant un calendrier des évènements programmés et une grille d’analyse fondée sur quatre piliers. La nécessité de combattre ce fléau du racisme est largement reconnue et de nombreux Etats ont salué les travaux du Secrétariat ainsi que les consultations qui les ont accompagnés. Il est désormais convenu que chaque année il sera organisé un forum dédié à l’ensemble de ces questions. Le document produit par le Secrétariat fournit une boîte à outils utile pour décliner au niveau national des plans d’action contre les discriminations et violences raciales de toutes natures. Un suivi permanent de ces actions sera assuré.

Quelques autres thèmes importants et/ou sensibles

-célébration d’une journée internationale de la langue russe (proposition de la Russie)

Un seul Etat s’est exprimé lors du débat plénier pour dire son opposition à une proposition jugée comme provocante mais lors du débat tenu en Commission les échanges ont été très nourris et tendus ; il aura fallu procéder par vote -ce qui est exceptionnel – pour finalement ajourner la décision ; la discussion comme les positions traduites par les votes ont révélé là aussi tous les antagonismes sous-jacents à cette crise majeure qu’a provoquée la guerre en Ukraine. Plusieurs délégués ont dit leur admiration pour la culture russe et ont tenu à préciser qu’il s’agissait seulement d’un ajournement décidé en raison des circonstances.

la Convention mondiale pour le Patrimoine

Plusieurs Etats ont demandé que la prochaine réunion de la Convention – dont on célèbre cette année le 50 ème anniversaire– ne se tienne pas à Kazan (en Russie) comme cela était initialement prévu, en raison de la situation internationale.

-renforcement du programme UNITWIN-Chaire Unesco

L’objectif de la décision vise à renforcer l’interaction entre l’organisation et les quelques 850 chaires Unesco (dans 117 pays) afin de mieux les suivre et en tirer parti dans l’organisation des évènements, pour les Programmes et les travaux de Recherche ou les grandes réflexions.

L’initiative a reçu une large approbation. La décision prise va donner un nouvel élan à cette composante intellectuelle importante de l’Unesco qui doit son existence à M Federico Major.

-révision du cadre relatif à l’Education artistique

Il s’agit là d’une actualisation ; cela étant précisé, lors des discussions en Commission, beaucoup d’intervenants ont insisté pour dire l’importance que revêtait l’éducation artistique pour l’épanouissement des jeunes. Deux sujets ont été soulignés : la formation des formateurs, et la nécessité d’évaluer les mises en œuvre. Un intervenant a rappelé que ce sujet traité depuis 1999 a déjà une longue histoire jalonnée de Conférences et de plusieurs grandes initiatives. (feuille de route, semaine internationale etc)

-renforcement du suivi de l’ODD4 (Education) 

Est actée la création d’un Comité directeur de haut niveau qui pourra prendre appui sur toute une organisation déjà instituée ; les Etats se sont montrés soucieux de l’organisation des relations au niveau national et régional pour une bonne fluidité des informations. Le sujet est important compte tenu des retards que l’on observe dans la réalisation de cet objectif.

– Le Numérique et l’Intelligence Artificielle

Le numérique en rapport avec des sujets précis a été moins fréquemment commenté que dans les précédents échanges, il reste néanmoins très présent, mais un peu en filigrane, dans les propos tenus, pour ce qu’il est maintenant, à savoir un élément appelé à habiter toutes les activités couvertes par l’Unesco ; l’Intelligence artificielle a été souvent juste citée pour dire qu’on devait maintenant s’employer à « mettre en œuvre » la norme éthique adoptée en novembre dernier , ce qui, aux dires de plusieurs délégués, se concrétise déjà dans leurs pays, qu’il s’agisse de l’IA introduite dans l’Education ou de sensibilisation à l’Ethique de l’IA. Une même observation a été faite à propos de la « norme sur la Science ouverte », à propos de laquelle le secrétariat organisera une rencontre prochainement.

l’Environnement, le dérèglement climatique

Là encore, le sujet est toujours évoqué, mais sans faire l’objet de longs développements ou apporter d’éléments nouveaux

les journalistes

Les actions du secteur Communication-Information ont été assez souvent abordées pour mettre en exergue l’acuité du sujet ; la guerre en Ukraine avec le meurtre de journalistes et les désinformations qui ont pu se diffuser a été ainsi rappelée. Le Secrétariat a rappelé certaines des actions prises pour protéger les journalistes, avec notamment la formation des acteurs du monde judiciaire pour lutter contre les impunités, ou la sensibilisation des journalistes aux risques de la désinformation. A aussi été mentionné ce qui est fait en rapport avec l’internet et les réseaux sociaux. 

-La Route des esclaves

Ce programme permanent auquel plusieurs pays attachent une grande importance voit son intitulé  modifié pour mieux donner le sens des travaux qu’il recouvre : « les Routes des personnes mises en esclavages : liberté, résistance, héritage »

-Positionnement de l’Unesco dans le Système des Nations Unies

La décision adoptée a eu pour objet d’exprimer le souhait que dans le cadre de la réforme du système onusien et plus particulièrement en rapport avec le suivi des objectifs de développement la place et les objectifs de l’Unesco soient bien mis en valeur et  intégrés par le Secrétariat Général de l’ONU.

Le débat en Commission a permis à l’ADG en charge des relations extérieures de bien faire le point de la réforme de l’organisation de l’ONU, notamment pour ce qui a trait à l’organisation décentralisée avec le concours des coordonnateurs résidents. S’agissant d’un vrai changement de culture, les nouvelles pratiques sont engagées avec d’inévitables difficultés mais les choses progressent.

-Question de gestion, méthode ou gouvernance

La nouvelle présidente du Board a donné sa vision du fonctionnement du Conseil avec une série d’observations qui, pour certaines d’entre elles, ont déjà produit leurs effets, notamment avec la communication des documents de travail suffisamment à l’avance.

Plusieurs délégués se sont félicités de voir qu’en réponse à une demande insistante, les consultations sont de plus en plus fréquentes ainsi que les réunions d’information organisées par le Secrétariat.

Il a été fait remarquer que la Transformation stratégique maintenant mise en œuvre a contribué à mieux traiter des sujets difficiles (transversalité, coordination entre ADG etc) 

Comme lors des précédentes sessions, beaucoup d’intervenants ont vanté les mérites des démarches coopératives ou partenariales.

L’organisation du Réseau hors siège a encore une fois fait l’objet d’assez nombreux commentaires ou d’interrogations quant à sa réforme qui a pris du retard. Le directeur du Bureau de la Stratégie et de la Planification a indiqué que cette question n’était nullement délaissée, que la partie décentralisée de l’Unesco absorbait un peu plus de 50% du budget, et que des progrès étaient enregistrés sur le terrain des systèmes d’information et du fonctionnement courant notamment pour ce qui est des relations avec le Siège (le contrôle, la coopération avec les secteurs). De nouvelles améliorations sont à prévoir, en lien notamment avec la réforme de l’ensemble du système onusien en voie de finalisation.

Le point « réforme de la gestion des ressources humaines » a amené plusieurs ambassadeurs à déplorer une insuffisance persistante dans la représentativité géographique.

Si, dans l’ensemble, le bilan des actions menées lors du dernier biennium est satisfaisant (objectifs atteints, réponse à beaucoup d’attentes), une critique a été émise quant aux résultats présentés de façon trop analytique. Il a été souhaité par un orateur que soit mieux mis en évidence l’impact des actions menées en termes concrets (sur le terrain) et par rapport aux grandes priorités retenues pour les orientations stratégiques.

-Les Finances

Le débat plénier, à la différence de ce qui a pu être noté dans le passé, a fait ressortir peu d’observations sur la situation financière. Il est vrai que sous l’effet des réformes menées et de l’engagement de la Directrice Générale la question n’est plus problématique ; à cet égard on aura noté ce qu’a précisé Madame Azoulay dans son discours introductif : les Etats honorent leurs engagements au titre du budget ordinaire et les financement extra-budgétaires (dons) sont en forte augmentation (niveau record atteint avec ce qui a été apporté lors du 4ème trimestre 2021). Cela étant précisé, les besoins de financement restent élevés au regard des projets et initiatives engagés comme on peut l’observer sur de nombreuses DR (décisions soumises au Board) lesquelles très fréquemment comportent une invitation faite aux Etats à envisager leurs contributions (extra-budgétaires) complétées éventuellement par d’autres sources de financement.

-Les Jeunes

Ce groupe prioritaire est maintenant souvent mentionné, notamment lorsque sont lancées de nouvelles réflexions ; il arrive maintenant assez fréquemment que l’on invite le Secrétariat à associer ou impliquer les jeunes. Si on peut s’interroger sur la façon dont peuvent être conduites de telles démarches, on pourra signaler ce qui est fait pour le développement durable (avec un réseau spécialisé)

Rappel de certains évènements annoncés 

Outre le sommet de New York sur l’Education et le forum Mondiacult à Mexico, de nombreux autres évènements sont programmés ; des déclarations entendues on aura ainsi relevé :

-un symposium sur l’alphabétisation des futurs (literacy of futures)

-Conférence mondiale sur la Presse (Uruguay)

-Conférence sur les chaires Unesco à l’occasion du 30 ème anniversaire de Unitwin (France)

-Conférence sur la Petite Enfance (Ouzbekistan)

-Sommet sur les Océans (Portugal)

-Conférence sur la Paix (Mexique)

-Réunion du réseau des Villes créatives (Brésil)

-organisation de la Cop 27 sur le climat (Egypte)

-Conférence sur la sécurité des journaliste (Autriche)